DOS GROYSE GEVINS
LE GROS LOT
SHOLEM ALEYKHEM
LE GROS LOT
SHOLEM ALEYKHEM
Probablement le plus célèbre des écrivains et humoristes yiddish du 19e siècle, Sholem-Aleykhem (de son vrai nom Sholem Rabinowitch) est né en 1859 d’un père marchand de blé, partisan du mouvement juif des lumières « Haskalah ». Le jeune Sholem effectue des études traditionnelles puis profanes dans un lycée russe. Il écrit d’abord ses premières œuvres en russe et en hébreux. Très rapidement il passe au yiddish, la langue du peuple. C’est à cette occasion qu’il adopte le pseudonyme de Sholem-Aleykhem, (salutation usuelle en hébreu « paix soit avec vous »), afin d’éviter des conflits avec sa famille pour qui écrire en yiddish n’a rien d’honorable.
Considéré comme le « père » de la littérature yiddish, il a été un auteur extrêmement fécond : des récits, des nouvelles, des contes pour enfants, des monologues, des romans épistolaires et des pièces de théâtre. Il a su dépeindre des personnages caractéristiques du monde semi-rural juif de la fin du siècle dernier. Certains des récits ou des romans ont été portés sur scène ou sur les écrans. Avez- vous vu ou entendu les chansons de la comédie musicale Le Violon sur le toit ? Cette comédie est tirée d’une des plus grandes œuvres de Sholem Aleykhem, Tevye der milkhikertévié, le laitier lequel incarne la sagesse et les ressources de l'auto-ironie face aux souffrances et aux vicissitudes de la vie.
L’œuvre de Sholem Aleykhem comporte une trentaine de volumes. Sa marque caractéristique est un humour empreint de tendresse, profondément enraciné dans la sensibilité et le parler du peuple que Sholem-Aleykhem réussit à styliser avec un rare bonheur, mêlant librement les textes sacrés et les dictons populaire.
Sholem-Aleykhem est décédé le 13 mai 1916 à New York. Son enterrement a été suivi par plus de 100 000 personnes.
DISTRIBUTION ARTISTIQUE et TECHNIQUE
DISTRIBUTION ARTISTIQUE
Shimélé Saroker – le maître tailleur
Michel Fisbein
Eti-Méni – sa femme
Annick Prime-Margules
Baylké – leur fille
Laurence Aptekier - Fisbein
Motl Kasoy – un tailleur
Lionel Miller
Kopl Falban – un tailleur
Michel (Abish) Kornfeld
Vigdortchouk – producteur de cinéma
Betty Reicher
Madame Koltn – mère du gérant d’immeuble
Mireille Sicari-Zolty
Malke – la marieuse
Renée Kaluszynski
Roza – gouvernante
Erika Dickenherr
Yokhved – la bonne
Marion Blank
Goldentoler – directeur de banque
Victor Lebensztein
EQUIPE TECHNIQUE
Costumes de Shimélé et Eti-Méni
Mireille Babonneau-Arth
Autres costumes
Jeannine Kopciak
Samuel Grossman
Nathalie Messer
Chorégraphies
Hélène (Khayalé) Domergue
Montage et postproduction du film « Le rêve »
Daniel Messer
Accessoires
Alexandre Messer
Laurence Ludner-Buchwald
Traduction
Mathilde (Malke) Mann
Surtitres
Alexandre Messer
Maquillage
Françoise Aptekier
Anyel, Elia and Orane Fisbein
Affiche et le programme
Annick Prime-Margules
Communication
Annabel Abramowicz
Estelle Hulack
Annick Prime-Margules
DISTRIBUTION ARTISTIQUE
Shimélé Saroker – le maître tailleur
Michel Fisbein
Eti-Méni – sa femme
Annick Prime-Margules
Baylké – leur fille
Laurence Aptekier - Fisbein
Motl Kasoy – un tailleur
Lionel Miller
Kopl Falban – un tailleur
Michel (Abish) Kornfeld
Vigdortchouk – producteur de cinéma
Betty Reicher
Madame Koltn – mère du gérant d’immeuble
Mireille Sicari-Zolty
Malke – la marieuse
Renée Kaluszynski
Roza – gouvernante
Erika Dickenherr
Yokhved – la bonne
Marion Blank
Goldentoler – directeur de banque
Victor Lebensztein
EQUIPE TECHNIQUE
Costumes de Shimélé et Eti-Méni
Mireille Babonneau-Arth
Autres costumes
Jeannine Kopciak
Samuel Grossman
Nathalie Messer
Chorégraphies
Hélène (Khayalé) Domergue
Montage et postproduction du film « Le rêve »
Daniel Messer
Accessoires
Alexandre Messer
Laurence Ludner-Buchwald
Traduction
Mathilde (Malke) Mann
Surtitres
Alexandre Messer
Maquillage
Françoise Aptekier
Anyel, Elia and Orane Fisbein
Affiche et le programme
Annick Prime-Margules
Communication
Annabel Abramowicz
Estelle Hulack
Annick Prime-Margules
DURÉE SU SPECTACLE
100 minutes (entracte de 20 minutes compris)
LE PLATEAU
La pièce se joue sur un plateau ou une scène dans « une boîte noire » avec des accessoires. La configuration suivante est souhaitable :
LES ACCESSOIRES
100 minutes (entracte de 20 minutes compris)
LE PLATEAU
La pièce se joue sur un plateau ou une scène dans « une boîte noire » avec des accessoires. La configuration suivante est souhaitable :
- dimensions minimales : 7m d’ouverture, 5m de profondeur. Si le plateau est de taille supérieure, l’espace de jeu est délimité par l’éclairage.
- rideau de fond de scène noir, permettant derrière lui le passage des comédiens entre les côtés cour et jardin ;
- pendrillons noirs (ou autre système équivalent) délimitant les coulisses de l’espace de jeu permettant l’accès des comédiens et des accessoires de chaque côté du plateau ;
- écran de surtitrage suspendu sur une perche juste au devant du rideau du fond de scène.
- au même niveau un système de « polichinelle » servant d’écran de projection vidéo durant le troisième acte.
- plancher noir (idéalement un tapis de danse ou moquette noire)
LES ACCESSOIRES
- une table en bois 90cm x 130cm
- trois tabourets ronds en bois diamètre 30cm
- un banc en bois – encombrement au sol 100cm x 30cm, hauteur 30cm
- deux fauteuils sans accoudoirs – encombrement au sol 80cm x 45cm, hauteur 95cm chacun
- une structure « miroir » en trois panneaux, encombrement au sol 180cm x 30cm, hauteur 200cm
- tissus d’habillage (nappe, habillage de tabourets et des fauteuils)
- accessoires de table
- écran de surtitrage 300cm x 80cm
- écran de projection en tissus blanc (« polichinelle ») 300cm x 225cm déplié avec poulies et drisses noires.
Tabouret – (actes 1&4)
Table de bois – (actes 1&4)
Chaise de jardin
Paravent miroir (2ème acte)
Tabouret recouvert – (actes 2 & 3)
Table de bois recouverte – (actes 2 & 3)
Chaise de jardin recouverte – (actes 2 & 3)
Banc de bois (1er acte)
ÉCLAIRAGE
SON
- éclairage du plateau en lumière « plein jour » durant toutes les scènes
- délimitation de l’espace de jeu par une ellipse de 7m d’ouverture sur 5m de profondeur. L’angle des projecteurs de face doit éviter d’éclairer l’écran de surtitrage.
- pendant les entre-scènes (changement des décors) la même lumière est réduite de moitié d’intensité.
- Une découpe ronde ou carrée à la fin de projection vidéo durant le troisième acte.
SON
- table de mixage avec au moins 6 voies (4 micros scène, 1 micro régie, une entrée audio stéréo extérieure)
- quatre micros d’ambiance symétriquement disposés au dessus de l’aire de jeu
- possibilité de connecter la sortie audio de l’ordinateur servant au surtitrage sur la console de mixage
- système d’amplification et de diffusion
LE GROS LOT
Un modeste tailleur juif, Shimélé Saroker, vit dans une ville de province russe… Joyeux de nature, bien que criblé de dettes, il rêve qu’un jour peut-être son billet de loterie, qu’il a acheté il y a des années de cela, remportera le gros lot. Et voici que le destin s’en mêle : il remporte 200 000 roubles, ce qui fait de Shiméeé l’homme le plus riche de la ville. Comment se déroulera désormais sa vie et celle de sa famille ? Voici le thème de cette pièce, Dos groyse gevins (Le gros lot), écrite en 1915, peu de temps avant le décès de l’auteur. Elle a été porté sur scène de nombreuses fois. Probablement la réalisation la plus célèbre est celle d’Alexandre Granowski avec le Théâtre Yiddish de Moscou, en 1922, sous le titre « Les 200 000 ».
Un modeste tailleur juif, Shimélé Saroker, vit dans une ville de province russe… Joyeux de nature, bien que criblé de dettes, il rêve qu’un jour peut-être son billet de loterie, qu’il a acheté il y a des années de cela, remportera le gros lot. Et voici que le destin s’en mêle : il remporte 200 000 roubles, ce qui fait de Shiméeé l’homme le plus riche de la ville. Comment se déroulera désormais sa vie et celle de sa famille ? Voici le thème de cette pièce, Dos groyse gevins (Le gros lot), écrite en 1915, peu de temps avant le décès de l’auteur. Elle a été porté sur scène de nombreuses fois. Probablement la réalisation la plus célèbre est celle d’Alexandre Granowski avec le Théâtre Yiddish de Moscou, en 1922, sous le titre « Les 200 000 ».